Après 10 ans chez Free et une belle évolution jusqu'à un poste de coordinatrice retail avec une équipe de 4 personnes, Anissa se retrouve perdue. Malgré la reconnaissance et les responsabilités, elle ne trouve plus de sens à ce qu'elle fait et commence à s'épuiser.

C'est grâce à un bilan de compétences, proposé par ses managers, qu'elle découvre ce qu'elle veut vraiment : organiser des événements, une passion qu'elle pratiquait déjà naturellement dans sa vie personnelle.

Dans cet épisode, Anissa partage :

• Comment elle a vécu cette perte de sens malgré une carrière réussie
• Le rôle du bilan de compétences dans sa prise de décision
• Pourquoi elle a choisi l'événementiel plutôt que la pâtisserie
• Comment elle gère l'entrepreneuriat avec deux enfants
• Ses premiers mois d'activité et comment elle trouve ses clients
• Sa vision de la peur comme moteur d'action

Un témoignage authentique sur l'importance du bien-être professionnel et personnel, et sur le courage qu'il faut pour quitter la sécurité d'un CDI quand on sait que ce n'est plus aligné avec nos valeurs.

Retrouvez Anissa Makhlouf :

• Site web : kena.eventagency.fr
• Instagram & LinkedIn : Kena Event Agency
• Tiktok : KENA Event Agency's Creator Profile

Ressources mentionnées :

• Livre "Écoute ton corps" de Louise Bourbeau
• Livre "Miracle Morning" de Hal Elrod
• Podcast "Comment découvrir ses talents" (épisode disponible dans la description

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Je suis Clarence Mirkovic, psychopraticienne, coach professionnel et consultante en bilan de compétences.

Si vous êtes à la recherche de votre nouvelle voie professionnelle, je vous invite à télécharger gratuitement votre livret d'exercices pour vous poser les bonnes questions.

Vous trouverez le lien dans la description de cet épisode.

Je vous laisse à présent avec mon invité du jour et je vous souhaite une très belle écoute.

Bonjour Anissa.

Bonjour Clarence.

Merci beaucoup d'avoir accepté mon invitation.

Est-ce que tu peux commencer par te présenter et nous dire quelle est ton activité professionnelle aujourd'hui ?

Oui bien sûr.

Je suis Anissa, j'ai 35 ans.

Je suis actuellement fondatrice d'une agence événementielle spécialisée dans la décoration et l'organisation d'événements privés.

Et qu'est-ce que tu faisais avant ça ?

Alors avant, j'étais salariée, j'étais coordinatrice retail dans un grand groupe français, Iliad, et plus précisément chez Free que tout le monde connaît.

Qu'est-ce qui te convenait plus finalement dans cette activité ?

Alors, je pense qu'il faut que je vous explique un petit peu mon parcours pour bien comprendre pourquoi j'en suis arrivée là.

Moi, j'ai eu un parcours assez atypique.

J'ai étudié les métiers de la mode.

Étant jeune, je rêvais de devenir styliste, en fait.

Et donc, quelques événements de la vie m'ont poussée à prendre une autre direction, celle du commerce.

Donc, j'ai été vendeuse dans les grands magasins, notamment, et au bout de Un an ou deux, j'ai décidé de prendre une autre direction parce que les magasins, j'en avais un petit peu marre.

Et donc, j'ai décidé sur un pari.

De postuler chez Free, donc un pari avec une amie.

Alors, pourquoi un pari ?

Parce qu'à l'époque, j'estimais que mes connaissances étaient proches de zéro dans le secteur des télécoms.

Pour moi, c'était un milieu beaucoup trop technophile.

Donc, c'était un réel pari pour le coup.

Donc, je postule.

Je passe les entretiens et à la fin, je suis prise à ma grande surprise.

Et le recruteur me dira à l'époque, je vous ai prise parce que vous êtes souriante et solaire et ça s'entend au téléphone.

Et à la fois, je ne quittais pas complètement le monde du commerce puisque j'allais être conseillère commerciale en centre d'appel pour Free.

Donc voilà, je suis prise chez Free, j'intègre le groupe à l'âge de 24 ans, donc il y a pratiquement 10 ans, en tant que conseillère commerciale au téléphone.

J'évolue au bout d'un an sur un poste de chargée de qualité des appels, donc ce poste que j'occupe pendant trois ans.

Ensuite, je quitte les centres d'appels pour aller travailler pour le réseau boutique Free.

Donc là, j'arrive dans une entité en pleine structuration et développement aussi, parce qu'à.

L'Époque, il n'y avait pas beaucoup de boutiques.

J'ai la chance qu'on me fasse confiance à 100%, donc j'évolue.

Je prends un réel plaisir à devenir.

Un chef de projet cette fois.

Et enfin, coordinatrice retail.

Je reprends une équipe, j'ai déchargé de projets qui s'occupent des ouvertures de boutiques.

Et des challenges et incentives.

J'ai une équipe de quatre personnes, donc je deviens manager.

J'ai évolué en interne, donc je le deviens à ce moment-là.

Je travaille avec la directrice des opérations, donc vraiment je suis hyper ravie et vraiment contente qu'on me fasse confiance à ce point.

Et donc, je suis chef d'orchestre, je chapeaute tout ça, on me fait confiance, c'est super.

L'entité grandit tellement vite.

que, bah qu'est-ce qu'il se passe ?

Bah en fait je commence à me perdre un peu.

J'ai plus trop de sens, enfin je trouve plus réellement de sens à ce que je fais.

Donc à ce moment-là je décide d'en parler avec ma manager à mon entretien annuel.

Grosse remise en question de ma part.

Je sais pas si je suis bonne dans ce que je fais, en fait je suis arrivée, j'ai été conseillère, clairement.

J'arrive, bah j'ai super bien gravis les échelons et je suis hyper reconnaissante de tout ça.

Sauf que je sais plus si j'aime vraiment ce que je fais, est-ce que j'ai vraiment des compétences.

Alors je suppose que oui, parce que sinon on m'aurait pas fait confiance.

Mais voilà, je me pose plein plein plein de questions.

On me dit que je travaille super bien, etc.

Mais oui, je crois comprendre que je sais faire plein de choses, donc ça c'est génial.

Mais qu'est-ce que je sais faire ?

Je ne sais pas.

À ce moment-là, je me suis posé une vraie question.

Et je me suis dit, est-ce que si je devais postuler ailleurs aujourd'hui, dans.

Quel poste je devrais postuler ?

Et là, la question, c'est, je ne sais pas.

Donc, clairement, je suis perdue.

Du coup, je passe un moment quand même pas hyper agréable dans ma vie professionnelle, pour le coup.

Donc, j'en parlais avec mes managers qui sont vraiment très, très à l'écoute.

Et c'est à ce moment-là qu'ils me disent, écoute, si vraiment tu es perdue professionnellement, ce qui peut arriver dans une carrière professionnelle, on te propose de faire un bilan de compétences.

Je ne savais pas vraiment ce que c'était à cette époque-là.

Mais voilà, en gros, pourquoi j'en suis arrivée là ?

J'explique un petit peu tout mon parcours.

Oui, ce qui est super intéressant parce que finalement, tu avais une très belle carrière chez Free, avec beaucoup d'évolution.

Tu arrivais avec des postes à responsabilité, de manager.

Mais à un moment donné, tu te retrouves perdue.

À ce moment-là, tu savais déjà que t'avais envie de partir de chez Free ou t'avais vraiment, comme tu dis, besoin de faire le point sur tes compétences ?

Non, je ne savais pas encore si je voulais partir.

Vraiment, je me suis arrêtée, j'ai beaucoup réfléchi, je me suis remise en question.

Honnêtement, je ne savais pas du tout si j'avais envie de partir, je ne savais même pas si j'avais besoin.

Alors effectivement, je pensais à mes compétences et à un bilan de compétences parce.

Que quelque part, j'avais besoin de faire.

Le point sur moi.

Mais on va dire qu'à ce moment-là, la question, c'était, bon, il faut que ça s'arrête, parce que je faisais tellement de choses, on a la tête dans le guidon.

Il fallait, en fait, je pense qu'à un moment donné, ça s'arrête et que je me dise, OK, qu'est-ce que je fais ?

Que je me ressente sur moi, en fait, finalement, que je me découvre, parce.

Que je me suis...

Tout a été tellement vite que finalement, je savais plus qui j'étais, presque, pour être honnête.

Oui, parce que c'est des opportunités qui te sont...

Qu'on t'a proposées ou c'est des choses que toi, t'es allée chercher ?

Je dirais que, enfin on m'a toujours proposé, ça c'est une certitude, donc c'est toujours mes managers qui m'ont dit écoute je te vois là, t'es super là, etc.

Mais effectivement, moi je suis une personne très très investie, donc je donne toujours tout.

Donc finalement, à un moment donné, ça allait payer.

J'allais forcément, on allait me proposer d'évoluer, etc.

Donc bon, je l'ai aussi cherché quelque part.

Mais en tout cas, je n'ai jamais moi-même pris l'initiative, peut-être par manque de.

Confiance, de postuler vers des postes plus élevés.

Et donc quand t'arrives cette envie de faire, en tout cas ce que le FRI te propose de faire ce bilan, t'étais quoi, au bord de l'épuisement ?

Je pense, ouais.

En fait, je ne m'en rendais pas compte.

C'est vraiment mes managers qui m'ont dit.

Écoute, Anissa, tu es fatiguée, il faut.

Vraiment que tu prennes soin de toi.

Pour le coup, je pense que s'ils ne me l'avaient pas dit, je ne me serais pas posé la question.

En fait, j'aurais continué à courir.

Et je pense que l'alerte, ça a été au moment où je n'avais plus vraiment de sens, où je ne trouvais plus vraiment de sens à mon travail.

En fait, je pense que c'est à ce moment-là que mes managers m'ont dit.

Écoute, là, il faut vraiment que tu t'arrêtes.

Qu'est-ce qui te manquait, là, pour avoir du sens ?

Je pense qu'il me manquait du temps.

Clairement, il me manquait du temps parce qu'en fait, j'avais ma to-do list et puis il fallait aller vite et puis on avait plein de projets, c'était génial.

Mais en fait, à un moment donné, je pense qu'il fallait que je m'arrête.

Et que je me dise, OK, ça, je suis bien là-dedans, il faut que je me perfectionne là-dessus.

Ça, je vais le déléguer à une.

Partie de mon équipe parce que clairement.

Il y a des choses que même moi, je faisais et que je déléguais même plus à mon équipe.

Enfin voilà, je pense qu'il me fallait du temps, clairement.

Alors qu'est-ce que t'as fait à ce moment-là ?

Alors à ce moment-là, j'en ai parlé avec mes managers.

Comme je vous ai dit, ils m'ont proposé de faire ce bilan de compétences.

Je me suis informée, j'ai trouvé trois.

Coachs, dont toi, avec qui j'ai échangé et je me suis dirigée vers la personne avec qui j'avais le plus de feeling.

Pour entreprendre ce bilan de compétence parce que clairement je savais que ça allait être un gros travail sur moi et.

Qu'Il fallait que je me sente en confiance pour ça.

Alors comment cette idée finalement de devenir organisatrice d'événements, comment c'est venu, comment ça a émergé chez toi ?

Alors moi j'ai toujours organisé dans ma famille avec mes proches des anniversaires, des mariages, des voyages.

vraiment tout, et je pense que d'ailleurs.

Aujourd'Hui, quand ils ont besoin d'organiser quelque chose, ils m'appellent, même avant que je fasse ces bilans de compétences.

Donc voilà, je me suis rendue compte.

Que j'aimais vraiment organiser des événements, que ce soit, que le rendu soit beau, que les gens se sentent bien, qu'il y ait une bonne énergie, et même d'ailleurs, dans mon ancien poste, j'ai eu.

La chance aussi d'organiser des événements, et.

Pareil, je m'assurais tous les participants repartent des étoiles plein les yeux.

C'était mon objectif, c'est vraiment qu'ils passent un bon moment.

T'as eu peur de partir de chez Free ?

Alors, si ça avait été un an en arrière, oui.

Clairement, j'aurais eu peur parce que j'avais un poste, j'étais en CDI depuis presque dix ans.

Je me disais, là, si je pars, qu'est-ce que je vais devenir ?

Le chômage ?

Je me suis dit, c'est impossible.

Quand ça s'est représenté un an plus.

Tard, je me suis dit que là, effectivement...

En fait, je ne me posais plus cette question-là.

J'étais vraiment dans le bien-être, pour être.

Tout à fait franche.

Là, l'objectif, c'était mon bien-être avant tout.

Donc, peu importe que je sois au.

Chômage ou salarié ou peu importe, il.

Fallait que je me sente bien.

Voilà, c'était surtout mon objectif premier.

Donc, les peurs que tu aurais pu avoir par rapport à ton avenir...

Enfin, le bien-être, là, passait avant, quoi.

Ouais, exactement.

Alors qu'un an avant, mon bien-être passait après, pour le coup.

Mais là, c'était le bon timing, pour moi.

Qu'est-ce qui fait que ça a été différent ?

Parce que j'avais besoin de mieux concilier vie perso et vie pro, pour le coup.

Je me rendais compte que je passais quand même pas mal à côté de moments importants de ma vie personnelle, puisque j'ai deux garçons.

Finalement, je m'occupais beaucoup moins parce que.

J'Avais un poste à responsabilité.

Et puis, les enfants, ils sont quand même très, très francs et ils ont une tendance à dire « oui, maman.

Tu travailles trop, je ne te vois pas beaucoup », etc.

Donc, à un.

Moment donné, on se remet pas mal en question.

Et on se dit que finalement, est-ce.

Qu'On ne mettrait pas de côté toutes ces responsabilités et tout ce travail acharné.

Pour finalement passer plus de temps avec ses enfants ?

Et pour le coup, je commençais moi-même à m'en vouloir, donc forcément ça a commencé à m'atteindre personnellement.

C'est à ce moment-là que je me suis dit, en fait, le plus important, ça reste quand même mon bien-être personnel.

Est-ce que je suis bien ?

En fait, c'était la question à ce.

Moment-Là, c'est est-ce que je suis bien personnellement ?

Alors, je m'épanouis au travail, c'est super.

Je fais plein de choses, c'est génial, mais est-ce que moi, je suis bien ?

C'est la question que je me suis posée à ce moment-là et ce n'était pas le cas.

Alors, dans quel état d'esprit t'es arrivée en bilan de compétences ?

Eh bien, je suis arrivée dans un.

État d'esprit où je me suis dit, Clarence, sauve-moi !

Non, non, non.

En fait, je me suis dit, on part à zéro sur moi, clairement, qui je suis ?

Est-ce que j'ai vraiment pris la bonne décision ?

Et puis, je vais être sûre de.

Ce que j'ai envie de faire après.

J'ai envie d'être épanouie, d'être sûre de moi.

C'était mon objectif en arrivant au bilan de compétences.

Comment t'as su que c'était vers l'événementiel que tu voulais aller ?

Du coup, comme je le disais, j'adore organiser des événements personnels, que ce soit.

Anniversaire, mariage, voyage, avec mes proches.

Donc j'avais ça en tête.

J'avais aussi autre chose en tête, c'est que j'adorais la pâtisserie, donc je faisais.

Aussi des jolis gâteaux, des cakes design, etc.

Donc voilà, je suis arrivée, j'avais plein de petites choses en tête, et à ce moment-là, il fallait que je trouve un poste ou quelque chose qui puisse m'animer au quotidien.

Tu savais déjà que tu voulais être indépendante ?

En fait, je ne savais pas.

C'était un gros point d'interrogation, à 50-50.

Disons qu'à la fois, je me disais, bon, si je dois trouver un poste en entreprise, pourquoi pas dans l'événementiel, etc., pourquoi pas ?

Et à la fois, devenir entrepreneur, je.

Me disais que ce n'était pas impossible, dans le sens où, comme je le disais, quand je suis arrivée chez Free.

Dans cette entité qui était en pleine.

Structuration et développement, finalement, j'ai touché à plein de postes, j'ai fait du recrutement, enfin voilà, j'ai vraiment touché à tout.

Et donc, je me disais, bon, si.

C'Est ça, développer une entreprise, Pourquoi pas ?

Mais voilà, en tout cas, je suis très créative.

J'ai toujours plein d'idées en tête, donc.

Oui, quand je suis arrivée, je n'étais.

En tout cas pas fermée à ce que j'allais devenir.

Qu'est-ce qui t'a aidée à faire le tri parmi tout ça ?

Ce qui m'a aidée, c'est clairement ce bilan de compétences.

On en a beaucoup échangé.

Il a fallu parler de mon parcours, parce que finalement, on se rend compte.

Que tout ce qu'on va vivre, toutes.

Les expériences de la vie, que ce soit des expériences personnelles ou professionnelles, on se rend compte qu'en fait, ça rentre dans un petit sac de compétences.

Donc, on apprend plein de choses et.

On se dit, puis quand on liste.

Tout, je me souviens qu'à chaque fois qu'on listait toutes mes compétences, je me disais, mais ce n'est pas possible, tous mes savoir-faire, etc.

Je me disais, mais c'est dingue tout ce que je peux finalement connaître.

Et donc vraiment, ça a été cette.

Partie-Là qui m'a permis de me structurer et de me dire un petit peu.

Dans quelle direction je vais et quel talent, en tout cas, je vais utiliser pour la suite.

Il y avait cette envie aussi de pâtisserie qui était assez forte, en tout cas au début.

Qu'est-ce qui fait qu'à un moment donné, tu l'as plutôt mise de côté ?

Parce que j'ai pu faire des...

Comment on appelle ça ?

Des enquêtes métier.

Des enquêtes métier, c'est ça.

Des enquêtes métiers.

J'ai pu échanger avec des pâtissiers.

Je me suis rendue compte que finalement.

J'Ai un profil qui a besoin d'être.

En contact des gens.

J'ai un fort relationnel, donc du coup j'ai ce besoin quand même d'être en contact.

Et là je me suis dit, enfermée dans mon atelier de pâtisserie, j'ai peur.

Qu'À un moment donné, Je m'ennuie parce que j'ai besoin.

Moi, je suis quand même beaucoup plus...

J'aime beaucoup l'animation dans l'organisation d'événements.

Je suis...

Comme je le disais, j'aime bien qu'il y ait une bonne énergie, etc.

Et alors, c'est cool, la pâtisserie, je suis très créative et ça, c'est génial.

Par contre, mettre de l'énergie dans la.

Pâtisserie, c'était un petit peu différent quand même.

Oui, c'est ça.

C'est-à-dire que ce projet-là, finalement, ne te permettait pas de combler tous tes besoins et tout ce que toi, t'avais envie de donner.

C'est ça.

C'est ça.

C'est exactement ça.

Donc aujourd'hui, ça fait combien de temps que tu t'es lancée ?

Là, ça fait bientôt six mois que.

Je me suis lancée.

Ça se passe plutôt bien.

En tout cas, c'est ce que j'en pense.

Je suis de nature très optimiste et.

Très positive, mais en tout cas, je.

Trouve que ça se passe plutôt bien.

En plus, grâce à tes conseils, j'ai été accompagnée par la Chambre des commerces.

et de l'industrie, avec qui j'ai mis des super plans d'action en place pour.

Pouvoir atteindre mes objectifs.

Là, je suis très axée sur la.

Visibilité, le marketing, etc.

J'ai eu quelques clients, ça s'est plutôt très bien passé.

En tout cas, je suis très épanouie aujourd'hui.

Comment t'as vécu ce changement ?

Est-ce qu'à un moment donné t'as eu des peurs qui sont venues ?

Déjà pour le bilan de compétence, clairement.

Moi ce qui m'a fait le plus.

Peur c'est de devoir me mettre à nu, parler de soi, se remettre réellement en question.

et puis finalement de prendre réellement le temps pour soi.

Parce que pour le coup de bilan de compétence, c'est ça, on fait une pause et on se dit qui je suis.

Donc c'est plus ça, parce que c'est finalement un exercice difficile, parce qu'on attend toujours tendance à ce que les autres nous décrivent, mais quand il faut se décrire soi, c'est différent.

Et ensuite, une fois ce bilan de compétence passé, que j'ai décidé de lancer cette agence, la plus grande peur finalement.

C'Était que ça marche.

C'est assez étonnant.

Alors, en fait, j'avais peur d'avoir trop.

De clients, d'avoir trop de clients, de.

Ne pas pouvoir servir tout le monde.

Que ça marche trop bien.

Voilà, c'est encore mon côté assez optimiste.

Mais j'avais cette peur-là.

Mais finalement, ça se passe bien.

J'ai suffisamment...

En tout cas, pour le moment, j'arrive à gérer.

Comment tu l'as dépassé, finalement, cette peur-là ?

Parce qu'elle aurait pu t'empêcher de communiquer ou d'aller chercher des clients, justement.

T'avais peur d'en avoir trop.

Comment tu l'as géré ?

Eh ben en fait, je me suis lancée de toute façon, je me suis.

Dit qu'il fallait y aller, qu'il fallait.

Communiquer, etc.

Et puis en fait, je me suis dit je vais y aller petit à petit.

Donc voilà, j'ai choisi les réseaux sur.

Lesquels communiquer, à quelle cadence, etc.

Et.

Puis je me suis rendu compte que.

En analysant un petit peu les résultats.

Qu'Il y a des fois où ça prend un peu plus, des fois ça prend un peu moins.

Je savais quand je voulais avoir plus.

De clients ce qu'il fallait mettre en.

Marche et finalement je me suis dit.

Que finalement c'était moi qui allais pouvoir.

Jauger en fait ce travail derrière et ses clients.

Comment tu les trouves alors justement aujourd'hui tes clients ?

On a un peu le nerf de la guerre quand on se lance en indépendante.

Comment toi tu fais aujourd'hui ?

Bah écoute, mes clients ils sont...

Finalement ils me ressemblent beaucoup.

Faut savoir que...

Bon je les choisis aussi.

On se choisit finalement, on se choisit mutuellement.

Mais sinon...

Sinon oui après ils...

Ils me contactent en fonction du canal.

Sur lequel j'ai sollicité finalement une publicité ou autre.

Et puis voilà.

Quels sont les canaux que tu utilises justement aujourd'hui ?

Alors, les canaux que j'utilise aujourd'hui, c'est Instagram, LinkedIn.

J'ai aussi créé mon site Internet.

J'ai aussi du coup WhatsApp Business, par lequel ils peuvent me contacter.

J'ai créé une fiche Google.

Donc finalement, en fait, en fonction de.

Ce que je vais communiquer ou mettre en ligne, je vais avoir des entrées par différents canaux.

Et puis voilà, ils arrivent comme ça.

Et en fait, sur chaque canal, j'ai.

Mis en place une procédure pour qu'ils puissent me contacter et qu'ils me donnent toutes les informations nécessaires pour pouvoir donner une suite à cet échange.

Comment ont réagi tes proches quand tu t'es lancée ?

Ça, il n'y a pas de problème.

Vraiment, celle que je redoutais le plus, on va dire, c'était ma maman, parce.

Qu'Un peu comme tous les parents, enfin, je ne sais pas si tous les parents sont comme ça d'ailleurs, mais en tout cas, beaucoup sont protecteurs et pour.

Eux, l'important, c'est d'avoir un CDI dans la vie.

Pour le coup, c'est ce que je.

Redoutais le plus, c'était de lui dire que j'allais partir.

Bon, déjà, il a fallu lui dire.

Que je quittais mon CDI et ensuite.

Que j'allais créer mon entreprise.

Deux choses.

Voilà, c'est deux choses.

Donc là, pour le coup, elle a finalement été hyper contente.

Je pense que j'ai aussi beaucoup de.

Chance parce que j'ai une sœur qui, il y a 12-13 ans peut-être, a.

Fait la même chose que moi.

Elle a quitté un super poste en.

CDI pour se lancer, reconversion totale professionnelle pour être prof de danse.

Elle, ça a été un petit peu plus compliqué pour le coup.

Finalement, je pense qu'elle a ouvert un peu les portes.

Quand je suis arrivée avec mon petit projet auprès de ma famille, finalement, ils.

Étaient hyper contents et puis se sont dit, super, elle va y arriver.

Ça, c'était cool.

C'était franchement une bonne chose et ça.

Aide beaucoup pour la suite.

C'est toujours bien d'avoir des grandes sœurs qui pavent un peu le terrain pour passer derrière quand on est plus petite.

Et tes enfants ?

J'ai dû leur expliquer que j'allais changer de métier.

Maman allait toujours être en télétravail, mais différemment.

Mais par contre, que j'allais faire un autre métier, que j'allais organiser des anniversaires, des mariages, etc.

Ils ont trouvé ça génial.

Pour le coup, c'était les premiers fans.

Ils m'ont dit « Quand est-ce qu'on fait la fête ?

» Donc je leur ai expliqué que.

J'Allais organiser tous ces événements, mais qu'ils n'allaient pas forcément être là, pour le coup.

Voilà, donc ça allait être mon travail.

Et en fait, ils ont plutôt bien compris.

Au départ, ils se sont dit, super, chouette, j'ai maman à la maison.

Enfin, on l'a pour nous 24 heures sur 24.

Finalement, j'ai dû leur expliquer quand même.

Que je continue à travailler, que c'était un petit peu différent, mais que je travaille toujours.

Et donc, ils ont totalement compris.

Maintenant, ils savent.

Ils savent ce que je fais et puis ils sont hyper contents.

Et puis, dès qu'ils peuvent venir, ils viennent avec moi.

Comment tu gères justement cet aspect vie de famille, sachant que l'événementiel, c'est souvent quand même les week-ends ou le soir ?

Alors, j'ai la chance d'avoir mon mari qui est aussi, du coup, un entrepreneur indépendant.

Donc, il peut aussi gérer son temps.

Donc, il prend le relais dès que j'en ai besoin.

J'ai aussi ma maman qui n'est pas.

Très loin non plus.

Pour le coup, ça n'a pas réellement changé ma carrière, si ce n'est que.

J'Ai une gestion un peu difficile, pardon, différente, une gestion différente de mon nouveau poste.

C'est que dès que j'ai besoin de prendre le temps pour ma famille, je sais que je peux le faire sans avoir finalement des comptes à rendre, je.

Dirais, et qu'on m'attende surtout derrière.

Là, je me dis que c'est moi, si je décide de ne pas travailler et de ne pas avoir de clients, ce sera de ma responsabilité.

Oui, ce qui est très différent.

Oui, complètement.

Qu'est-ce qui était le plus difficile finalement, tu dirais, dans cette reconversion ?

Je pense que c'est de se poser les bonnes questions sur soi.

En fait, c'est vraiment se dire, est-ce que ça va me plaire réellement ?

Quelles sont mes valeurs ?

Finalement, on sort clairement de sa zone de confort, surtout pour une personne comme moi qui a occupé un poste pendant dix ans.

Là, on se dit, on sort de son train-train quotidien.

On doit penser à rien d'autre et encore une fois, on doit penser qu'à soi.

En plus, en tant que Parisienne, comment.

Vous dire qu'avec une vie à 200 à l'heure, ce n'est pas évident de devoir se poser réellement.

Donc moi, je pense que c'est vraiment le plus difficile.

Ça a été de se poser et de se dire, OK, qui je suis ?

Qu'est-ce que je deviens encore une fois ?

Et voilà, on sort de sa zone de confort, clairement.

D'accepter de prendre ce temps-là qui est nécessaire, mais d'arrêter quand on est très très actif, comme toi tu pouvais l'être, avec mille et une choses en tête.

C'est exactement ça.

Et le plus facile ?

Ça a été vraiment de me livrer à toi, pour le coup, parce que tu as réussi à me mettre à l'aise, donc j'ai été totalement en confiance.

Et je pense que si je n'avais.

Pas eu ce feeling, ça aurait été difficile de tout livrer finalement sur un plateau et ensuite de trier ce qu'on veut, ce qu'on ne veut pas.

Donc ça a été vraiment, pour le.

Coup, une bonne aide.

Et ensuite, j'ai pu mettre rapidement ma créativité à profit.

Donc voilà, rebondir, mettre les plans d'action en place derrière, etc.

Voilà, ça m'a pas mal aidée.

Qu'est-ce qui te plaît le plus aujourd'hui dans ce que tu fais ?

Alors, ce qui me plaît le plus...

Déjà pour commencer, ma charge de travail n'a pas changé.

Parce que pour le coup...

Moi qui.

Disais que j'avais beaucoup de boulot avant.

J'En ai toujours autant.

Non, en revanche, ce qui me plaît.

Le plus, c'est quand même cette liberté.

Alors, au-delà du fait d'être entrepreneur, c'est.

Cette liberté de créer, de penser, de.

Prendre des décisions et de s'organiser vraiment.

Comme on le souhaite.

Donc ça, ça n'a pas de prix, parce que finalement, effectivement, quand on est salarié, on peut avoir une liberté de.

Penser, de créer, etc.

Sauf qu'on doit toujours valider, en fait, ces idées.

Alors que là, je me dis, à partir du moment où je me sens en confiance et je me dis c'est.

Bon, j'y vais et puis voilà.

Donc ça vraiment, c'est un réel plaisir.

Surtout moi encore une fois qui suis très créative, c'est cool de pouvoir se.

Dire je fais ça, j'adore et je le fais et je vais jusqu'au bout.

Carrément.

Et ce qui te plaît le moins, parce qu'il n'y a pas de métier parfait, qu'est-ce qui te plaît un peu moins mais que tu es quand même obligée de faire ?

Alors, vraiment, ce qui me plaît le moins, c'est la communication et le marketing, pour le coup.

Je trouve ça super, les réseaux sociaux, etc.

Je trouve que c'est le marketing digital.

Je trouve ça génial.

Mais quand on le fait personnellement, c'est cool, on partage des moments de vie, c'est sympa, etc.

Mais quand il faut le faire professionnellement, c'est autre chose.

En fait, il faut vraiment se poser les bonnes questions.

Est-ce que ça va plaire à mon client ?

Qu'Est-Ce que je mets en avant, etc.

Et finalement, j'ai la chance aujourd'hui d'être.

Accompagnée par une ancienne collègue chargée de communication, qui du coup m'aide pas mal là-dessus.

Mais en fait, je me suis dit, et je me le dis de plus en plus, c'est que c'est le prochain poste que je vais recruter pour le coup.

Parce que la communication et le marketing, c'est quand même un bon morceau.

Et voilà, c'est un vrai poste, quoi.

Oui, qui prend d'autant plus d'importance au départ quand on démarre une activité en fait.

C'est ça, exactement, parce que tant qu'on ne se fait pas connaître, on n'a pas de client.

Exactement.

Et c'est des choses qu'on ne met pas forcément assez parfois au début quand on se lance dans une activité indépendante, quelle qu'elle soit, c'est comment je vais me faire connaître et cette part communication marketing peut représenter 80-90% du quotidien en fait au départ.

Exactement, c'est tout à fait ça.

Qu'est-ce qui t'a le plus aidé dans ton parcours ?

Je dirais encore une fois ma créativité.

Je pense que ça m'a pas mal.

Aidée parce que du coup, j'ai plein d'idées.

Pour développer, ce n'est pas un problème.

Et finalement, ce côté multicompétence que j'ai développé chez Free.

J'ai pu toucher à plein de choses.

Et finalement, aujourd'hui, je me rends compte.

Que ça m'aide beaucoup dans ce que je suis en train de développer, de.

Pouvoir, entre guillemets, passer du coq à l'âne, d'un projet à un autre, d'une.

Activité à une autre.

Finalement, je faisais beaucoup ça avant et.

Je le fais aujourd'hui parce qu'en tant.

Qu'Entrepreneur, on n'a pas le choix.

Et en fait, je le fais avec beaucoup de facilité.

Donc ça, c'est vraiment cool.

Qu'est-ce que tu te dis aujourd'hui quand tu regardes ton parcours ?

Je suis hyper fière finalement de la.

Petite fille que je suis devenue.

Je me dis qu'il ne faut rien regretter dans la vie parce qu'en réalité.

Tout ce qu'on peut faire, que ce soit à l'école, que ce soit en entreprise, même mes précédentes comme expérience professionnelle, avant d'arriver chez Free, en fait, tout.

Nous servira dans la vie.

Donc, je pense qu'il ne faut rien regretter.

Et je suis hyper contente, finalement, de.

Tout ce que j'ai fait, parce que je pense que si je n'avais pas fait tout ça avant, je ne serais peut-être pas où j'en suis aujourd'hui.

Alors, quel conseil tu donnerais à ceux qui sont comme toi, tu pouvais être avant et qui hésitent à se lancer ?

Déjà, il ne faut pas avoir peur.

Enfin, non.

En fait, il faut avoir peur pour passer à l'action, je pense.

Parce que je me disais la même chose.

Mais en réalité, si on n'a pas.

Peur, on n'y va pas.

C'est un peu bizarre ce que je dis, mais finalement, quand on n'a pas peur, c'est trop facilement accessible.

Et donc, voilà, il ne se passe pas grand-chose derrière.

Alors que quand on a peur, on sait que ça veut dire que c'est difficilement accessible.

Et à partir du moment où on.

Aura décroché ce truc qui va nous.

Faire peur, on va pouvoir aller encore plus loin.

Moi, c'est ce que je me dis, c'est que vraiment, sans ça, je le.

Sais, dès que j'ai pas peur, c'est une facilité et en fait, ça m'emmène pas très loin.

Donc voilà, ça c'est vraiment un conseil.

Que je peux donner aujourd'hui.

Oui, c'est une jolie façon de voir la peur.

Oui.

Ce que je voulais dire aussi, c'est que j'avais aussi un jour écouté un.

De tes podcasts qui m'avait pas mal.

Aidée sur comment découvrir ses talents.

Et je sais que ce podcast, il m'a beaucoup aidée.

parce qu'en fait, je me suis rendu compte que j'ai décidé de faire aujourd'hui comme activité.

Finalement, c'est quelque chose que je savais faire facilement et je ne me serais.

Peut-Être pas dirigée vers cette activité parce.

Que j'aime beaucoup de challenges, donc j'aurais été capable de faire quelque chose que je ne sais pas faire.

En tout cas, me diriger vers quelque.

Chose que je ne sais pas faire.

Pour pouvoir avoir un nouveau challenge.

Sauf que là, en fait, en écoutant ce podcast, je me suis rendue compte que c'était finalement un talent que j'avais, qu'il était préférable de le mettre à.

Profit parce qu'en plus, en développant ce.

Talent, j'allais pouvoir exceller dans le domaine.

Donc, en tout cas, ça m'avait pas.

Mal aidée à cette époque-là pour prendre ma décision.

Super.

Je vous remettrai le lien pour ceux qui veulent l'écouter dans la description.

Est-ce que tu as un autre livre ou un autre podcast à nous recommander qui t'a aidé ?

Oui, j'ai un livre qui m'a été.

Offert d'ailleurs par mon ancienne manager qui.

Est Écoute ton corps.

C'est un super livre qui m'a pas mal aidée à apprendre à m'écouter dans ce moment où j'étais en pleine remise en question.

C'est un livre super qui vous apprend.

À prendre soin de vous.

Je le recommande à 200 %.

Et le deuxième que tout le monde connaît, je suppose, c'est le Miracle Morning, pareil, qui m'a beaucoup aidée à passer à l'action.

Ecoute ton corps, c'est de Louise Bourbeau, non ?

Oui, c'est ça.

Là aussi, je mettrai toutes les descriptions.

Est-ce qu'il y a une dernière chose que tu souhaites ajouter avant qu'on termine cet épisode ?

Rien de particulier, si ce n'est que.

Je voulais te remercier, en tout cas, de ton accompagnement, encore une fois.

Et si j'ai un dernier message à.

Passer, c'est qu'il faut y aller.

Il faut y aller et il ne faut pas hésiter.

De toute façon, il n'y a rien à regretter dans la vie.

Il n'y a que des expériences, donc il faut y aller.

Est-ce que tu peux nous redire un peu les offres que tu proposes et où est-ce qu'on peut te retrouver si on a envie d'en savoir plus ?

Bien sûr.

Les offres que je propose, j'organise tout type d'événements, bien évidemment des événements privés, que ce soit pour particuliers ou professionnels.

Je suis spécialisée un peu plus dans la décoration d'événements et je propose également de la pâtisserie en collaboration.

Sinon, j'ai toutes les prestations disponibles pour l'organisation d'un événement, qu'il faille trouver un lieu, une décoration, un traiteur, etc.

Voilà, on peut faire appel à moi.

Donc moi j'ai mon site internet par lequel on peut passer, donc c'est kena.

eventagency.fr.

On peut également me retrouver sur Instagram et sur LinkedIn pour les professionnels.

Voilà, pour l'instant, c'est les réseaux disponibles.

On peut aussi me retrouver sur Google via ma fiche Google.

Et moi, vraiment, je recommande à tout le monde de faire appel à tes services s'ils ont un événement, un anniversaire, quoi que ce soit à organiser.

Merci beaucoup, Anissa.

Merci, Clarence.

À bientôt.

Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout.

Si ce podcast vous plaît, je vous remercie de bien vouloir lui laisser une note 5 étoiles sur votre plateforme d'écoute préférée.

Et si vous souhaitez en savoir plus sur le bilan compétences, vous pouvez prendre rendez-vous pour un entretien gratuit et sans engagement en cliquant sur le lien que vous trouverez dans la description de cet épisode.

Je vous dis à très vite.

Au revoir.